Tragédie mortelle dans le Val-d’Oise : Un adolescent de 17 ans mis derrière les barreaux pour meurtre.

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Un récent développement inattendu dans une intrigue meurtrière, nous avons appris que le parquet de Pontoise a incarcéré un adolescent de 17 ans ce samedi 9 décembre. « L’auteur présumé du coup de couteau qui a malheureusement coûté la vie à Kendy a été mis en examen pour la gravité de l’assassinat », a partagé Pierre Sennès, le procureur qui est à la tête de cette enquête.

Rappelons-nous des événements tragiques qui ont conduit à ceci. Kendy, un habitant d’Ézanville, était paisiblement sur le chemin du retour à la maison après une journée de lycée, quand on l’a attaqué. Des jeunes rivaux de Domont l’ont cruellement ciblé semblant vouloir se venger d’une bagarre qui avait éclaté la semaine précédente. Ceci a été révélé par Eric Battaglia, le maire de la petite ville d’Ézanville lors d’un entretien avec la presse.

Tout cela est arrivé le lundi vers six heures du soir, une bagarre impliquant une vingtaine de personnes a éclaté à Domont, comme l’a relaté le communiqué du procureur de Pontoise le mardi. « Quand les forces de l’ordre sont arrivées sur les lieux, la bagarre avait déjà pris fin et le groupe en cause s’était volatilisé. » C’est une affaire décourageante mais la justice semble être en train de faire son devoir.

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Anciennes querelles ressurgissent

Il nous faut remonter au contexte ancien pour saisir l’intrigue mêlant Kendy et ses agresseurs. L’adolescent, résident du quartier Rû-de-Vaux à Ézanville, était dans le viseur d’un groupe de Domont, deux territoires dont la rivalité n’est pas récente. Selon les informations de la mairie, ces discordes perdurent en effet depuis près de vingt ans.

Le lycée de Kendy en état d’alerte

La victime était inscrite dans un lycée local, un établissement qui accueille pas moins de 1 400 élèves et où le drame a provoqué une vive émotion. Or, les autorités académiques ont su réagir avec promptitude : le rectorat de Versailles a, en effet, mis en route plusieurs cellules d’écoute, pour accompagner élèves et adultes qui auraient besoin d’aide.

Les forces de l’ordre sur le qui-vive

Quant aux forces de l’ordre, elles n’ont pas tardé à investir le secteur. Policiers et gendarmes ont rapidement intégré le dispatcher dans les zones en question, en quête de toute information pertinente qui pourrait contribuer à l’enquête. Votre serviteur continue de suivre cette affaire de près, chers lecteurs, restez connectés pour les mises à jour.

Source : AFP

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