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La tempête silencieuse au sein du PSG
Malgré la saga sans fin autour de l’avenir de Kylian Mbappé, le PSG maintient le cap en restant leader de la Ligue 1. Au delà de l’équipe de la capitale qui s’apprête à affronter le Barça en quart de finale de la Ligue des champions, un ouragan interne perturbe la tranquillité du club.
Tensions dans la clinique du PSG ?
Des rumeurs de conflits émergent au cœur du staff médical du club. Le quotidien sportif L’Equipe rapporte que depuis la nomination de Patrick Flament, une ancienne figure du Toulouse FC intimement liée à Luis Campos pour ses collaborations passées à Monaco, à la position de médecin en chef du club (auparavant occupée par Christophe Baudot) à l’été dernier, l’unanimité semble avoir disparu.
Des maladies mal diagnostiquées à l’origine du conflit ?
Il semble que des erreurs de diagnostic aient été le début de cette tourmente, mettant une pression accrue sur les kinésithérapeutes et surtout sur ceux qui sont directement concernés par ces erreurs sont les joueurs.
Diagnostic erroné sur les blessures de Marquinhos et Zaïre-Emery
Regardons d’abord Marquinhos. En Ligue 1, ce dernier subit une blessure au tendon d’Achille contre le FC Nantes le 17 février, verdict : Il s’est éloigné des terrains depuis. Malgré les annonces du club présageant un retour à l’entraînement en préparation de son 8e de finale retour de Ligue des Champions contre la Real Sociedad, le 5 mars, notre footballeur brésilien demeure absent.
Parallèlement, Warren Zaïre-Emery, aussi éloigné des terrains suite à une blessure de cheville le 18 novembre, ne devait logiquement pas être de retour avant 2024. Et pourtant, il foule à nouveau la pelouse le 9 décembre lors du match contre Nantes, où ils remportent un score de 2-1.
D’autres exemples similaires sont cités par L’Equipe, dont les cas de Presnel Kimpembe et Nuno Mendes, mis hors-jeu plus longtemps que les recommandations médicales initiales. Pourquoi tant de situations aberrantes ? Bon nombre de joueurs sont aujourd’hui sur leurs gardes et n’hésitent plus à consulter des médecins indépendants pour obtenir un deuxième avis sur leurs états de santé; ils cherchent à obtenir un éclairage supplémentaire sur leurs blessures.
