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Au lendemain d’un 8 janvier bouillonnant, l’investiture de Gabriel Attal à la fonction de Premier ministre a été publiquement proclamée le mardi 9 janvier. Sans aucun doute, cette annonce, initialement prévue pour le lundi, a déchaîné passions et remous. Nous avons compris grâce à des sources fiables, que cette décision n’a pas été du goût de tout le monde.
Notre excellente équipe de rédaction a recueilli des renseignements suggérant que les échanges animés se sont prolongés jusqu’à une heure avancée de la nuit précédant l’annonce. Une source en particulier nous explique que « Bruno [Le Maire] et Gérald [Darmanin] n’ont pas mâché leurs mots! » au moment de découvrir la nouvelle.
La source affirme que les deux ministres ont été assez fermes : ils ont clairement signalé qu’ils ne voulaient pas travailler sous les ordres de Gabriel Attal. « Ils ont clamé haut et fort qu’ils souhaitaient le poste de ministre des Affaires étrangères, ou sinon, ils menacent de quitter le gouvernement ». Ces mots ont été rapportés par un membre du gouvernement avant cette annonce majeure.
L’énergie politique s’agite autour du jeune Premier ministre Gabriel Attal
Alors que le lumineux et fringant Gabriel Attal, 34 printemps seulement, s’est installé confortablement dans son nouveau fauteuil de Premier ministre, des rumeurs pleine de piquant tourbillonnent à l’ombre des couloirs politiques de Paris.
Rumsteak ou carpaccio, le duo Le Maire-Darmanin saisit à huis clos !
La viande dans le torchon, c’est ce que nous avez subtilement chuchoté un membre de la majorité en délicates confidence à BFM TV : « Bruno Le Maire ne souhaite pas travailler sous les ordres d’un homme de 34 ans ». Des mots pimentés confirmés en douceur par un conseiller de Bercy. Selon lui, notre nouveau Premier ministre manquerait de cuir : « il n’est tout simplement pas suffisamment expérimenté ».
Cache-cache politique, les renoncements des ministres ne sont pas au rendez-vous !
Et bien mes amis, si vous croyez que les ministres en cause ont hésité à démentir ces fâcheuseries, vous vous mettez le doigt dans l’œil jusqu’au coude ! Ces derniers ont fermement nié tout désaccord. Le camp de Gérald Darmanin nous clame haut et fort qu’« il ne s’est absolument pas opposé », et du côté de Bruno Le Maire, on s’empresse d’affirmer que sa “relation” avec Gabriel Attal est “excellente ».
Le politico-drame se trame en filigranes…
Tiens tiens, Edouard Philippe, ce charmant minet, aurait aussi griffé sur Attal, probablement de peur de voir un futur concurrent à la présidentielle faire ses griffes à Matignon. Pour couronner le tout, le fidèle Alexis Kohler, secrétaire général de l’Élysée, n’aurait lui aussi pas caché ses réserves concernant ce choix.
Alors, qui veut du p’tit nouveau ?
Que vous réserviez vos applaudissements ou fassiez des grimaces, Gabriel Attal est bel et bien à Matignon et fait déjà ses petits papiers. Sa tâche immédiate ? Composer un nouveau gouvernement
