Le Sort Juridique de Trump entre les Mains de la Cour Suprême : L’Immunité Pénale en Question aux États-Unis

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Dernièrement, une annonce a retenu l’attention du pays lorsqu’elle a été faite par l’autorité suprême dans le domaine judiciaire des États-Unis, la Cour suprême. Cette annonce se porte sur l’ancien président, homme d’affaires de renom, qui s’est retrouvé dans une situation complexe, accusé d’avoir tenté un acte répréhensible envers le pays.

En effet, Donald Trump est dans le collimateur de l’autorité judiciaire, qui a fait part de quatre accusations à son encontre. Pour se défendre, l’homme politique a fait appel à son privilège d’immunité pénale, premier privilège reconnu à un président dans l’histoire des États-Unis. Une situation d’importance qui sera examinée à la fin du joli mois d’avril par la Cour suprême elle-même.

Avec l’approche des élections, Trump est en tête de la course aux primaires républicaines. Il tenterait avec cette action de repousser l’inévitable jugement jusqu’après le scrutin.

Apportant une complication supplémentaire, une cour d’appel fédérale a rejeté l’immunité que Donald Trump invoquait, le 6 février dernier. Ce rejet a ouvert de nouvelles opportunités juridiques pour honorer la loi. En effet, il s’agit de poursuivre la tentative d’inversion illégale des résultats de l’élection de 2020, attribuée à l’ancien président.

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Le Grand Chambardement Judiciaire

C’est un nouveau point de friction, une nouvelle vague de suspense qui se forme dans la mythique histoire judiciaire de notre ancien président, homme d’affaires et maître du tempérament imprévisible, Donald Trump. Du 12 février, on se souvient de sa demande à la Cour suprême pour reporter la date du début de son procès. Pourtant, le procureur spécial Jack Smith, détenteur du dossier, a plaidé avec ferveur pour le rejet de cette requête.

Mais à chaque histoire son héros, ou son contre-héros, comme dirait certains. Restons objectifs, chers lecteurs. Les culottes courtes, les robes noires et les perruques des juristes ne sont pas épargnées par le trépidant rythme du carrousel Trump. L’éminente juge Tanya Chutkan, meneuse du futur cortège des débats, n’a pas eu d’autre choix que de reporter le procès. Un procès qui, si tout avait été peint en rose, aurait dû débuter le 4 mars dernier.

Tic Tac, le temps d’un procès

Notre cher procureur Smith a un plan. Son plan consiste à ne pas laisser la Cour suprême intervenir. Mais si, par malédiction, le sort en décide autrement, il a une autre corde à son arc. Ce plan B ? Un calendrier accéléré pour ramener le procès sur le rail en cas de rejet de la proposition d’immunité de Trump. Parce qu’un « procès puisse se tenir avec un délai supplémentaire réduit », et c’est son idée.

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En somme, le grand échiquier judiciaire voit ses pièces bouger et le roi Trump tente une nouvelle fois de s’extirper d’une situation délicate. Reste à voir quels seront les prochains coups joués. Tic, tac, c’est l’heure du grand match confrères et consoeurs.

Le jeu de l’immunité : une ruse Trump ?

La Cour suprême, dans sa récente décision, a aiguillé les événements en faveur de Donald Trump. Malgré cela, elle a respecté la requête du procureur spécial d’un débat fixé à la date étonnament rapprochée de « la semaine du 22 avril ». Alors, pendons-nous à nos pendules, cela ne saurait tarder.

Un dossier aux implications nationales

Apparemment, Jack Smith n’a pas mâché ses mots en indiquant l’ « importance nationale unique de ce dossier pénal ». Pourquoi unique ? Car il concerne un ancien président accusé « pénalement pour avoir tenté de se maintenir au pouvoir en empêchant le vainqueur légitime de l’élection de prendre ses fonctions ». Le dit ancien président, c’est bien sûr Trump, toujours partant pour des revendications audacieuses, qui cette fois, aspire à une « immunité absolue » pour ses actions en temps que président.

De citoyen à président, et vice versa

« Pour les besoins de ce dossier pénal, l’ancien président Trump est devenu le citoyen Trump, avec les mêmes protections que n’importe quel autre prévenu. » C’est ce qu’ont affirmé les trois juges d’appel dans leur décision unanime, validant ainsi, la décision faite en première instance par l’honorable juge Chutkhan en décembre. Pour autant, ils ajoutent qu’après son mandat présidentiel, aucune immunité liée au pouvoir exécutif ne peut dorénavant prémunir Trump contre des poursuites.

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Un retour de Trump au pouvoir en janvier 2025 signifierait, fort probablement, l’arrêt des poursuites fédérales pendantes contre lui. Tictac, mesdames et messieurs, la pendule tourne et chaque tic, chaque tac apporte une nouvelle dimension à cette saga foisonnante.

Source : AFP

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